La réponse de Sandrine à la mort ? Célébrer la vie. Elle a perdu de nombreux êtres chers au cours de sa jeune vie, ce qui l’a amenée à réfléchir à l’inévitable processus de deuil. Elle y est préparée et en parle sans aucun tabou. Un entretien portant sur l’importance des souvenirs, des dernières volontés et du réconfort.
« La scène montre à quel point les gens abordent différemment un sujet comme la mort. Lars veut tout anticiper, tandis que Véronique ne prend pas le sujet au sérieux et n’a pas conscience de l’importance d’une assurance obsèques. Dans la vraie vie, je suis tout le contraire. Je veux que tout soit réglé et discuté à l’avance. »
« Je réagirais complètement différemment de mon personnage. On ne peut pas éviter l’inévitable. Il faut oser en parler. C’est, pour moi, libérateur de connaître les dernières volontés de mes proches et de leur communiquer les miennes. Aborder un sujet difficile permet d’enlever un poids des épaules. Vous apprenez à mieux vous connaître et à mieux connaître les autres. Parce que penser à la mort, c’est aussi se demander comment on veut vivre et qui on est. »
« Oui, car j’ai moi-même dû dire au revoir de nombreuses fois dans ma vie. J’ai perdu mes deux parents : mon père en 2008 et ma mère en 2011. Mon père était atteint de leucémie chronique, nous savions donc que son état s’aggraverait à un moment donné. Mais j’ai pu parler avec lui très ouvertement de sa cérémonie d’adieu et de ses dernières volontés. C’est là que j’ai commencé à réfléchir à ce que je voulais moi-même. »
« Mon conjoint, bien sûr. Mais aussi mon partenaire à l’écran, Kürt Rogiers. Lorsque mon papa est décédé, nous étions occupés à tourner “Sara”. Kürt a assisté de près à ce processus de deuil et m’a énormément soutenue. La mise en bière de mon père s’est déroulée chez lui, comme il le souhaitait. Kürt est également venu lui rendre hommage. J’ai senti un réel soutien. Ces moments aussi émouvants et intimes n’ont fait que renforcer notre amitié. »
« Mon neveu s’est soudainement mis à faire de la soupe dans notre cuisine. Sans oublier les lettres, à relire à l’infini. Et aussi étrange que cela puisse paraître : les photos prises lors des obsèques. Il se passe tant de choses ce jour-là qu’il est difficile de tout saisir. C’est pourquoi j’ai apprécié regarder à nouveau ces clichés et ces moments après coup, afin de pouvoir remettre chaque chose à sa place. »
« Non, je ne savais pas que l’assurance couvrait, en plus du coût des obsèques, les formalités après funérailles et l’assistance psychologique. Dans “Familie”, Véronique et Lars ont en principe suffisamment d’argent pour payer une inhumation. D’où la réaction de Véronique : nous n’en avons pas besoin, si ? Mais je pense qu’il est bon pour tout le monde que tout soit réglé à l’avance afin d’éviter beaucoup de tracas ultérieurs. »
« Je veux qu’on se souvienne de moi comme quelqu’un qui voulait faire le bonheur des autres. En racontant des histoires ou en touchant les gens en plein cœur. Je pense que c’est aussi la raison pour laquelle je suis devenue actrice. Je veux que les gens se sentent libres de rire avec moi un instant et de pleurer dans mes bras l’instant d’après. C’est un soulagement. »
Faire ses adieux est déjà assez difficile. C’est pourquoi vous avez besoin d’un maximum de soutien durant votre période de deuil. Le Plan de Prévoyance obsèques de DELA vous offre, à vos proches et vous, une belle tranquillité d’esprit, aujourd’hui et demain. Nous ne pouvons peut-être pas alléger votre peine, mais bien les frais et les soucis. Surfez sur dela.be pour faire le plein de conseils et d’inspiration en matière de cérémonie d’adieu et de deuil et trouver plus d’informations sur notre assurance obsèques.
Source : Het Laatste Nieuws
Lisez également les articles ci-dessous pour plus d'inspiration sur la vie et les adieux.