Comment se traduit l’approche différente de DELA vis-à-vis des personnes, de la société et du rendement ?

Nous essayons de limiter notre empreinte écologique et d’investir de manière responsable. Nous n’investissons pas dans des entreprises impliquées dans la production d’armes ou qui violent les principes portés par les Nations unies en matière de droits de l’Homme, de conditions de travail, d’environnement et de lutte contre la corruption. Depuis la création du Fonds DELA en 2007, nous soutenons financièrement des œuvres de charité. Il s’agit de projets de proximité, principalement portés par des bénévoles, et qui rendent plus supportable cette difficile période autour d’un décès. Les collaborateurs de DELA s’engagent, par ailleurs, en faveur de causes sociales, par exemple lors des journées bonnes actions, dont la devise est « Pour eux, pour tous ».

Conformément à la pensée coopérative, DELA ne cherche pas à maximiser ses bénéfices au profit d’actionnaires ou d’investisseurs externes qu’il faut satisfaire. Cela ne signifie pas que nous ne sommes pas entreprenants et que nous ne souhaitons pas réaliser de bénéfices, mais que nous voulons faire profiter au maximum nos clients et nos membres des bénéfices réalisés, par exemple par le biais de la participation aux bénéfices ou par le biais d’investissements qui garantissent la croissance et la pérennité de l’organisation. Pour DELA, le profit n’est pas une fin en soi mais un moyen d’atteindre un objectif, notamment à se montrer aussi significative que possible les uns pour les autres ainsi que pour la société dans son ensemble, dans tout ce qui a trait aux adieux.